mercredi 4 mai 2011

presse et technique : coefficient Gini et code QR

L'article publié dans l'Avenir

La presse répercute les statistiques divulguées par l'OCDE via l'agence Belga concernant l'inégalité des revenus par pays.
Les remarques concernant la statistique, formulées hier au sujet du sondage mené par références.be, valent ici aussi. Cela étant, un site affichant la devise de Benjamin Disraeli, homme politique et écrivain anglais, figure marquante du roman social au XIXème siècle "il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les gros mensonges et les statistiques' présente une carte : cliquez ici
Le coefficient de Gini serait du à Corredo Gini, statisticien, sociologue et économiste italien du XXème siècle.
Une autre personnalité liée à l'Italie se profile en filigrane d'un article publié ce jour dans le journal la Meuse :


Depuis 2006, l'artiste italo belge Fabrice de Nola intègre les codes-barres à son art. Visitez son site en cliquant ici.

Le code-barre a été breveté en 1952 mais n'a connu une utilisation courante qu'à partir de 1973. Le code QR est un code bidimensionnel (2D) développé dès 1994. Fabrice de Nola n'est pas le seul artiste à avoir introduit ce composant dans son art : le procédé commence à se généraliser comme un outil de promotion original, à la manière de ces clefs usb que l'on abandonne, maçonnées dans l'espace public. Le monde de la publicité (Louis Vuitton), de la musique (Valentine's Day) et de la politique (voir l'article de la Meuse) mènent la société vers ces outils de communication issus du progrès technologique.

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